samedi 16 mai 2009

CIEUSE, PELERINAGE de

Pélerinage de Cieuse :





Pèlerinage établi depuis le XVII° siècle, pour vénérer , suite à son intercession lors de l'épidémie de Peste, Notre -Dame de Cieuse dite N-D des Bienheureux représentée par une statue en bois polychrome ( vierge à l'enfant tenant un globe) de facture naïve. Les fidèles et le consuls de Mézin se retrouvaient pour le lundi de Pâques à la chapelle champêtre de Cieuse (12° -13° siècle modifiée au 18° siècle). L'opposition à ce pèlerinage du curé de Mézin au XVIII° siècle "suscita l'inquiétude des consuls de Mézin craignant irriter la colère de Dieu faute d'accomplir le voeu qui avait été fait pour un bon et fin motif par leur prédécesseurs"




Reproduction photo publiée par le chanoine Marmier avec carte souvenir éditée lors de son jubilé sacerdotal (ordonné prêtre le 13/07/1930)


PELERINAGES

Voir BON-ENCONTRE Pèlerinage, AMBRUS, CIEUSE

vendredi 15 mai 2009

COIFFES

COIFFES :



Elles étaient portées traditionnellement au XIX° et au début du XX° siècle en Agenais lors des cérémonies et même au cours de la vie courante. Leur couleur avaient une signification symbolique: la couleur des jeunes filles à marier était le blanc alors que le noir était celles des méninos. Des concours de coiffes étaient organisés sur le Gravier d'Agen par le commerce agenais avant la Grande Guerre



Celle reproduite ci-dessus est une coiffe fantaisie à carreaux d'une nounou d'une famille bourgeoise agenaise.

Reproduction photo prise par F. Perret vers 1905 peut-être à l'occasion du baptême de "l'héritier" présenté par la nourrice.

lundi 4 mai 2009

UPSA, LABORATOIRE DE L'UNION DE PHARMACOLOGIE SCIENTIFIQUE APPLIQUEE

UPSA

Voir page 489.

Le procédé de l'effervescence fut acquis auprès du pharmacien Bounafous Jean de Lamagistère (Tarn et Garonne) et non Bonnafous de Bon-Encontre comme écrit par erreur.
Ancien officier pharmacien colonial ayant dans le service de santé des troupes coloniales entre 1907 & 1930 (AOF, AEF, Madagascar) il s'était retiré à Lamagistère. R. C