JEUX FLORAUX DU HAUT-PAYS AGENAIS
Ces nouveaux jeux-floraux furent créés en 1959 par Jean-Noé Vaylet, poète et écrivain, Jasmin d’Argent (version occitane) en 1955, Chardon d’Argent (version française) 1958 aux jeux floraux du Languedoc, amoureux du Haut-Pays Agenais et de Villeréal, la bastide Alphonsine dont il était le maire et le conseiller général.
« Fier de porter l’âme de cette terre » il fut aidé par le général Auzeral, Le Dr Grenier de Cardenal et Mme, Jacques Raphael-Leygues qui présidait le jury, Claude Mombet, directeur de la revue « Lou Beroy parla » et d’autres poètes imprégnés de la langue occitane. Le prix décerné tous les ans, la libellule d’or, était accompagné de 50 nouveaux francs. Plusieurs félibres locaux furent récompensés par la libellule d’or dont Franc-Louis Dupoutot en 1960 avec son poème Lous Prunès qui Aganits de printèn, se capèlon de flous. R.C
Voir autres notices : Jeux Floraux, Vaylet Noé (Son prénom véritable à l’état-civil était Jean-Noé), Raphael-Leygues Jacques, Dupoutot Franc- Louis.
dimanche 31 mars 2013
samedi 16 mars 2013
SAINT-GILLIS,FAMILLE
SAINT-GILLIS, Famille
Famille agenaise qui est actuellement éteinte depuis le XIX e siècle, selon Philippe Lauzun vers 1875. Bertrand de Saint-Gillis, avocat au parlement, jurat et consul de la ville d’Agen par son action et son soutien au roi lors de la Fronde obtint ses lettres de noblesse en décembre 1654.
Les saint-Gillis étaient sieur de Grabe et du Bédat.
Pierre Saint-Gillis , père de Bertrand était notaire à Agen.
Le nom d’une rue lui fut attribué. Elle correspondait avant le percement du boulevard de la République et avant la destruction de la cathédrale saint-Etienne, pour partie à la rue Lafayette actuelle jusqu’à la place Lafayette et à la rue Benabara pour sa portion qui va du boulevard au marché et pour une partie de la place du Président Wilson en prolongement de la rue Lafayette.
L'ortographe Saint-Gilis est aussi retrouvée
R.C
Famille agenaise qui est actuellement éteinte depuis le XIX e siècle, selon Philippe Lauzun vers 1875. Bertrand de Saint-Gillis, avocat au parlement, jurat et consul de la ville d’Agen par son action et son soutien au roi lors de la Fronde obtint ses lettres de noblesse en décembre 1654.
Les saint-Gillis étaient sieur de Grabe et du Bédat.
Pierre Saint-Gillis , père de Bertrand était notaire à Agen.
Le nom d’une rue lui fut attribué. Elle correspondait avant le percement du boulevard de la République et avant la destruction de la cathédrale saint-Etienne, pour partie à la rue Lafayette actuelle jusqu’à la place Lafayette et à la rue Benabara pour sa portion qui va du boulevard au marché et pour une partie de la place du Président Wilson en prolongement de la rue Lafayette.
L'ortographe Saint-Gilis est aussi retrouvée
R.C
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