Additif à la notice BROCQ Louis, page 109.
Parmi les nombreuses maladies auxquelles le nom de Brocq est associé il faut retenir le pyoderma gangrenosum dont on fête le centenaire de la description princeps. En effet il decrivit, le 28 février 1908, cette affection avec minutie lors d'une communication à la Société médicale de hôpitaux de Paris en la nommant phagédénisme géométrique. Le nom défénitif de pyoderma gangrenosum ne fut adopté par la communauté scientifique qu'en 1930 suite à la publication de Brunsting LA, Goeckerman WH, O'Leary PA qui relevèrent son association fréquente avec des diarhées chroniques (Recto-colite hémorragique).
L Brocq fut un travailleur considérable influançant ses élèves comme ses collaborateurs :
"Brocq de caractère chagrin et de santé médiocre a exercé une influence considérable surtout peut-être par son enseignement oral. Il faut l'avoir vu et entendu dans son service ou à la consultation examiner un malade et commenter son diagnostic. Il arrivait à l'hôpital l'air mourant se trainant, annonçant sa fin prochaine : puis au deuxième ou au troisième malade, il se reveillait, s'excitait devenait éloquent et faisait d'admirables leçons" .William Dubreuilh, dermatologue bordelais( 1857-1835)
Parmi les nombreuses maladies auxquelles le nom de Brocq est associé il faut retenir le pyoderma gangrenosum dont on fête le centenaire de la description princeps. En effet il decrivit, le 28 février 1908, cette affection avec minutie lors d'une communication à la Société médicale de hôpitaux de Paris en la nommant phagédénisme géométrique. Le nom défénitif de pyoderma gangrenosum ne fut adopté par la communauté scientifique qu'en 1930 suite à la publication de Brunsting LA, Goeckerman WH, O'Leary PA qui relevèrent son association fréquente avec des diarhées chroniques (Recto-colite hémorragique).
L Brocq fut un travailleur considérable influançant ses élèves comme ses collaborateurs :
"Brocq de caractère chagrin et de santé médiocre a exercé une influence considérable surtout peut-être par son enseignement oral. Il faut l'avoir vu et entendu dans son service ou à la consultation examiner un malade et commenter son diagnostic. Il arrivait à l'hôpital l'air mourant se trainant, annonçant sa fin prochaine : puis au deuxième ou au troisième malade, il se reveillait, s'excitait devenait éloquent et faisait d'admirables leçons" .William Dubreuilh, dermatologue bordelais( 1857-1835)
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